Les professionnels de santé du territoire peuvent être confrontés à un épuisement professionnel, en raison d'exigences professionnelles trop élevées, d'un temps de travail particulièrement important, de charges administratives trop lourdes ou encore d'un grand sentiment d'insécurité dans leur exercice.
Les professionnels de santé ont besoin d'échanger sur leurs pratiques et d'améliorer leurs compétences. La CPTS peut offrir un cadre permettant de se connaître et de favoriser les contacts au travers de rencontres thématiques.
Les initiatives d'échanges existantes fonctionnent et doivent ainsi être développées.
Les CPTS doivent définir et mettre à jour un plan d'action pour répondre aux crises sanitaires exceptionnelles.
Le taux de dépistage du cancer du col de l'utérus sur le territoire est assez bas, -25.4% par rapport à la moyenne française et 6.4% par rapport au Val d'Oise.
De plus, le nombre de professionnels de santé réalisant des frottis diminue.
L'exposition prolongée au tabac peut générer au tabac peut générer une insuffisance respiratoire par bronchopneumopathie chronique obstructive. Le tabac est la cause de 80% des BPCO.
Cette maladie n'est en général pas diagnostiquée assez tôt, voire, parfois, pas du tout.
Les troubles du neuro-développement qui se caractérisent par une perturbation du développement cognitif ou affectif de l'enfant et qui entrainent un retentissement important sur le fonctionnement adaptatif scolaire, social et familial, sont en hausse partout en France.
Le repérage/dépistage précoce de ces troubles est une forte priorité car ils sont détectés tôt, plus l'enfant est pris en charge rapidement par les bons interlocuteurs, et plus il sera possible de les traiter. Or les dépistages et les adressages sont souvent tardifs.
Les troubles du neuro-développement qui se caractérisent par une perturbation du développement cognitif ou affectif de l'enfant et qui entrainent un retentissement important sur le fonctionnement adaptatif scolaire, social et familial, sont en hausse partout en France.
Le repérage/dépistage précoce de ces troubles est une forte priorité car ils sont détectés tôt, plus l'enfant est pris en charge rapidement par les bons interlocuteurs, et plus il sera possible de les traiter. Or les dépistages et les adressages sont souvent tardifs.
Il arrive fréquemment que les professionnels de santé libéraux ne soient pas informés de l'hospitalisation de leurs patients, de même que le retour à domicile de ces derniers n'est pas suffisamment anticipé ou préparé en amont.
La proportion de personnes âgées de plus de 70 ans augmente sur le territoire depuis plus de 10 ans.
De plus, les conditions techniques et opérationnelles du maintien à domicile de ces personnes ne sont pas toujours possibles et connues. Avec, également, des domiciles inadaptés, un manque de solutions de transport pour se rendre chez les professionnels de santé qui se déplacent moins au domicile, et une ouverture des droits sociaux qui peut s'avérer longue et compliquée pour les personnes.
Et les actions de prévention pour les personnes en perte d'autonomie, qui participent au maintien à domicile, existent mais elles ne sont pas assez connues.
L'accès aux demandes de soins non programmées des patients, est compliqué car les professionnels de santé libéraux sont très sollicités sur le territoire. De plus, de nombreux patients s'orientent vers un service d'accueil des urgences alors qu'ils pourraient être pris en charge en ville.
La proportion de patients n'ayant pas accès à un médecin traitant est élevée sur le territoire. De surcroît, les médecins généralistes constatent que l'accès aux soins est particulièrement difficile pour les patients qui ont des polypathologies alors qu'ils nécessitent un suivi régulier.