Le taux de dépistage du cancer du col de l'utérus sur le territoire est assez bas (-25,4% par rapport à la moyenne française et 6.4% par rapport au Val d'Oise).
De plus, le nombre de professionnels de santé réalisant des frottis diminue (baisse de la démographie médicale dont gynécologues notamment, réduction de la réalisation des actes techniques, manque de matériel). D'autre part, les campagnes de communication de la CPAM ne sont à priori pas efficaces, dans la mesure où de nombreuses femmes ne reçoivent pas leur “invitation à se faire dépister”).
Mettre en place des actions de prévention auprès des jeunes
Communiquer sur cette action auprès des professionnels de santé du territoire